Sur la digue
Azuré Parfois, il n’y a rien. Le vent dans l’herbe sèche. Parfois, l’herbe s’affole et danse, les azurés se posent. Plus rien n’existe alors. J’oublie sans effort le vrombissement de la grand route qui enjambe le Rhin. J’oublie le vent. J’oublie l’heure. Il n’y a plus que la beauté de ce petit monde… Azuré - 2 Azuré - 3 Azuré - 4 Azuré - 5 Voir ou revoir : Berceuse Les bienvenus